Présentation de la commune
Situé à 45 km de Metz, 51 km de Nancy, 17 Km de Chateau-Salins, Conthil est un village ou il fait bon vivre. Avec une Superficie de 931 hectares, une population qui avoisine les 163 habitants et située à une altitude 255 Mètres, le village est logé dans un écrin de verdure, qui respire la tranquillité et le calme. CONTHIL a un vécu, un patrimoine culturel et une histoire, CONTHIL, vit et vivra longtemps avec son histoire. Petite anecdote étymologique : Le suffixe HIL relatif aux Tilleuls ajouté au préfixe CONT relatif à Contrée , font de Conthil la Contrée des Tilleuls.
- Adresse
2 rue des Marronniers
57340 CONTHIL
- Horaires de la mairie
Mardi : 16h – 18h
Vendredi : 12h30 – 14h et 12h30 – 14h
- Nous joindre
Conseil Municipal
Maire : Olivier ROMAIN
1ère adjointe : Valérie SEMMELBECK
2ème adjoint : François BALAND
Secretaire : Mélanie DE-BIN
Bruno COLIN
Romain DESHAYES
Michel HASTENTEUFEL
Eric LOETSCHER
Massimo PICCIOTTI
Jean françois PIERRE-DIT-MERY
Jean luc SCHREINER
Isabelle WITTMER
Téléchargements
20250429 pv cm 29 avril 2025
20250401 pv cm 01 avril 2025
20241217 pv cm 17 décembre 2024
20241022 pv cm 22 octobre 2024
20240625 pv cm 25 juin 2024
20240409 pv cm 09 avril 2024
20240326 pv cm 26 mars 2024
20231113 pv cm 13 novembre 2023
20231003 pv cm 03 octobre 2023
20230811 pv cm 11 août 2023
20230609 pv cm 09 juin 2023
20230523 pv cm 23 mai 2023
20230425 pv cm 25 avril 2023
20230331 pv cm 31 mars 2023
20230131 pv cm 31 janvier 2023 2
20230131 pv cm 31 janvier 2023 1
20221123 pv cm 23 novembre 2022
20221005 pv cm 5 octobre 2022
20220615 pv cm 15 juin 2022
20220413 pv cm 13 avril 2022
20220216 pv cm 16 février 2022
20211207 pv cm 7 décembre 2021
20210915 pv cm 15 septembre 2021
20210721 pv cm 21 juillet 2021
20210505 pv cm 5 mai 2021
20210414 pv cm 14 avril 2021
20210317 pv cm 17 mars 2021
20201209 pv cm 9 décembre 2020
20200923pv cm 23 septembre 2020
20200902 pv cm 2 septembre 2020
20200701pv cm 1er juillet 2020
20200610pv cm 10 juin 2020
20200122 pv cm 22 janvier 2020
Scolarité
Délibérations
Mon service public
Question-réponse
Justice pénale : quelles sont les alternatives à un procès ?
Vérifié le 01/03/2023 - Direction de l'information légale et administrative (Première ministre)
Pour éviter un procès pénal, des mesures alternatives peuvent être prises par le <a href="/commune/commune29/?xml=R1123">procureur de la République</a>. L'objectif est d'assurer la réparation du dommage causé à la victime, de mettre fin à <a href="/commune/commune29/?xml=R10272">l'infraction</a> et de réinsérer socialement l'auteur des faits. Le procureur peut agir directement ou par l'intermédiaire d'un <a href="/commune/commune29/?xml=R51707">officier de police judiciaire</a>, d'un <a href="/commune/commune29/?xml=R56225">délégué du procureur</a> ou d'un <a href="/commune/commune29/?xml=R55151">médiateur</a>. Ces mesures s'adressent au majeur et mineur.
Depuis le 1<Exposant>er</Exposant> janvier 2023, le rappel à la loi est supprimé et remplacé par l'avertissement pénal probatoire.
Entretien d'avertissement
L'avertissement pénal probatoire est un entretien réalisé par le <span class="miseenevidence">procureur de la République ou son délégué</span>.
L'objectif de l'entretien est de rappeler à l'auteur d'une infraction ce que dit la loi et les peines qu'il encourt pour ne l'avoir pas respectée.
La personne mise en cause peut être assistée par un <span class="miseenevidence">avocat</span> au cours de cet entretien.
Avant ou pendant l'entretien, l'auteur prouve qu'il a indemnisé la victime.
Période probatoire
<span class="miseenevidence">À compter du prononcé de l'avertissement</span> s'ouvre une <span class="miseenevidence">période probatoire</span> : il s'agit d'une période pendant laquelle l'auteur de l'infraction doit s'abstenir de commettre une nouvelle infraction.
Ce délai est de <span class="miseenevidence">1 an</span> lorsqu'il a commis une <span class="miseenevidence">contravention</span>.
Ce délai est porté à <span class="miseenevidence">2 ans</span> en cas de <span class="miseenevidence">délit</span>.
<span class="miseenevidence">À la fin de cette période de mise à l'épreuve</span>, le procureur peut confirmer l'avertissement. Il peut aussi revoir cette décision initiale à condition de se trouver dans le délai pour pouvoir encore engager des poursuites. Il peut alors décider d'une <span class="miseenevidence"><a href="/commune/commune29/?xml=F1461">composition pénale</a></span> ou <span class="miseenevidence">poursuivre</span> l'auteur <span class="miseenevidence">devant un tribunal</span> correctionnel ou de police.
Si la personne ayant bénéficié de l'avertissement comment une nouvelle infraction pendant la période probatoire, le procureur peut utiliser la composition pénale. Il peut aussi prendre une ordonnance pénale ou ouvrir une procédure de <a href="/commune/commune29/?xml=F10409">comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité</a>. Il peut également envisager de poursuivre l'auteur devant un tribunal correctionnel ou de police.
Il n'est pas nécessaire que la nouvelle infraction soit identique à la première (exemple : des violences peuvent entrainer la révision de l'avertissement pénal probatoire décidé pour un vol antérieur).
Conditions à remplir par l'auteur
L’auteur peut bénéficier de cette mesure alternative aux poursuites pénales lorsqu’il reconnait avoir commis l’infraction qu’on lui reproche.
Que l'auteur soit majeur ou mineur, cette mesure d'avertissement avec mise à l'épreuve <span class="miseenevidence">est </span><span class="miseenevidence">possible</span> dans les cas suivants :
- La victime d'une infraction a obtenu réparation de son préjudice par l'auteur
- L'auteur a bénéficié en même temps que l'avertissement pénal probatoire d'une mesure alternative de réparation au bénéfice de la victime.
S'il est mineur, ses <a href="/commune/commune29/?xml=R10398">représentants légaux</a> sont convoqués et donnent leur accord pour sa mise en œuvre. L'avertissement pénal probatoire s'applique aux mineurs sans antécédent judiciaire. Il s'applique également à ceux qui n'ont pas besoin d'un suivi éducatif.
Il ne peut <span class="miseenevidence">pas</span> y avoir <span class="miseenevidence">d'avertissement pénal probatoire</span> dans les cas suivants :
- L'auteur a déjà été condamné par la justice (exemple : récidiviste ou personne ayant déjà fait l'objet d'une condamnation non <a href="/commune/commune29/?xml=R62269">amnistiée</a> ou <a href="/commune/commune29/?xml=R52856">réhabilitée</a>)
- La personne a commis des violences ou un<a href="/commune/commune29/?xml=R49229"> délit</a> contre une personne <a href="/commune/commune29/?xml=R61207">dépositaire de l’autorité publique</a> ou investie d’un mandat électif public
- La victime de l’infraction commise n’a pas obtenu réparation de son préjudice par l’auteur.
L'auteur des faits peut être orienté vers une structure sanitaire, sociale ou professionnelle pour suivre un des stages suivants :
- Stage de citoyenneté (rappel des valeurs républicaines)
- Stage de sensibilisation aux dangers de l'usage de produits stupéfiants
- Stage de sensibilisation à la sécurité routière (en cas d'infraction à l'occasion de la conduite d'un véhicule)
- Stage de responsabilisation pour la prévention et la lutte contre les violences au sein du couple
- Stage de sensibilisation à la lutte contre l'achat de services sexuels (dans le cadre de la lutte contre la prostitution)
- Stage de responsabilité parentale (rappel aux parents de leurs droits et devoirs )
- Stage de lutte contre le sexisme et de sensibilisation à l'égalité entre les femmes et les hommes
Ce stage <span class="miseenevidence">doit être payé par l'auteur des faits</span>.
À noter
si l'auteur des faits est mineur, ses <a href="/commune/commune29/?xml=R52001">représentants légaux</a> sont convoqués avant la mise en place de la mesure. Ils doivent donner leur accord. Le procureur fixe la part des frais de stage à payer par les parents.
L'auteur des faits mineur peut également être orienté vers un stage de formation civique ou vers une consultation auprès d'un psychiatre ou d'un psychologue.
À noter
le procureur peut demander au mineur et à ses représentants légaux de justifier de l'assiduité du mineur à un enseignement ou une formation professionnelle.
Le procureur de la République peut laisser la possibilité à l'auteur des faits de se mettre en conformité avec la loi ou un règlement.
Par exemple, la régularisation de la situation par l'auteur des faits est possible dans les situations suivantes :
- Permis de construire non demandé avant la réalisation des travaux
- Mise en conformité d'un véhicule avec la loi
- Paiement d'une pension alimentaire qui n'était plus payée par l'auteur des faits
L'auteur des faits doit apporter la preuve qu'il a régularisé sa situation en présentant le document nécessaire (permis de construire accepté, facture de mise en conformité du véhicule ...). La réussite de la mesure permet à l'auteur des faits d'échapper aux poursuites.
À noter
si l'auteur des faits est mineur, ses <a href="/commune/commune29/?xml=R52001">représentants légaux</a> sont convoqués avant la mise en place de la mesure. Ils doivent également donner leur accord.
Le procureur peut demander à l'auteur des faits de réparer le dommage causé à la victime. La réparation peut, par exemple, consister en l'indemnisation ou en la remise en l'état du bien dégradé.
La victime est informée des propositions de réparation. Elle peut les accepter ou les refuser.
À noter
si l'auteur des faits est mineur, ses <a href="/commune/commune29/?xml=R52001">représentants légaux</a> sont convoqués avant la mise en place de la mesure. Le mineur et ses représentants légaux doivent donner leur accord par procès verbal.
Si le dommage concerne les biens d'une commune, le procureur peut demander à l'auteur des faits de répondre à une convocation du maire. Cette convocation permet à l'auteur de faits de conclure une transaction avec la mairie.
Le procureur peut interdire à l'auteur des faits de se rendre dans un ou plusieurs lieux déterminés dans lesquels l'infraction a été commise (un bar, un marché, une salle de sport...).
Il peut aussi interdire à l'auteur des faits de se rendre dans le lieu où réside la victime.
La mesure est décidée pour une durée de 6 mois maximum.
À la demande de la victime, en cas de violences conjugales ou familiales qui peuvent se répéter, le procureur peut interdire à l'auteur des faits de s'approcher et de résider au domicile familial. Cette mesure est décidée pour une durée de 6 mois maximum. Dans le cas de violences conjugales ou familiales, la mesure peut être accompagnée d'une prise en charge sanitaire, sociale ou psychologique de l'auteur des faits.
À noter
si l'auteur des faits est mineur, ses <a href="/commune/commune29/?xml=R52001">représentants légaux</a> sont convoqués avant la mise en place de la mesure.
Le procureur de la république peut demander à l'auteur des faits de ne pas rencontrer ou entrer en relation avec les personnes suivantes :
- Victime
- Complice
- <a href="/commune/commune29/?xml=R56032">Co-auteur</a>
L'interdiction est d'une durée maximale de 6 mois.
À noter
si l'auteur des faits est mineur, ses <a href="/commune/commune29/?xml=R52001">représentants légaux</a> sont convoqués avant la mise en place de la mesure.
À la demande ou avec l'accord de la victime, le procureur peut ordonner une mesure de <a href="/commune/commune29/?xml=F1824">médiation pénale</a>.
Cette mesure a pour objectif de résoudre à l'amiable le litige.
En cas de réussite, un procès verbal d'accord est signé entre le médiateur, la victime et l'auteur.
À noter
si l'auteur des faits est mineur, ses <a href="/commune/commune29/?xml=R52001">représentants légaux</a> sont convoqués avant la mise en place de la mesure. Ils doivent également donner leur accord.
Le procureur de la République peut demander à l'auteur des faits de verser une <span class="expression">contribution citoyenne</span> auprès d'une association d'aide aux victimes.
Le montant de cette contribution est fixé par le procureur en fonction de la gravité des faits, des ressources et des charges de l'auteur des faits.
Le montant maximum est de <span class="valeur">3 000 €</span>.
La <a href="/commune/commune29/?xml=F1461">composition pénale</a> est une procédure alternative aux poursuites.
Elle peut être proposée par le procureur de la République pour les <a href="/commune/commune29/?xml=R49228">contraventions</a> et certains délits comme par exemple <a href="/commune/commune29/?xml=F33341">l'usage de drogue</a> ou la <a href="/commune/commune29/?xml=F2881">conduite en état d'ivresse</a>.
Cette procédure s'adresse à la <a href="/commune/commune29/?xml=R60417">personne physique</a> (majeure ou mineure) ou à la <a href="/commune/commune29/?xml=R40703">personne morale</a>, qui reconnaît sa culpabilité.
À noter
s'il s'agit d'un mineur, lui et ses représentants légaux doivent donner leur accord, en présence d'un avocat.
-
Code de procédure pénale : article 41-1
Mesures alternatives aux poursuites
-
Avertissement pénal probatoire
-
Code de la justice pénale des mineurs : articles L422-1 à L422-2
Mesures spécifiques pour un mineur
-
Code de procédure pénale : article 41-2
Composition pénale
-
Code de la santé publique : article L3423-1
Injonction thérapeutique
-
Circulaire du 12 mai 2017 relative aux mesures alternatives aux poursuites (pdf - 396.4 KB)
Et aussi
-
Justice
-
Justice
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